Hydrogène vert : un jeu de dupes

Par Michel Gay

Des lobbies aux visées divergentes (industriels, nucléaires, écologistes,…) veulent faire croire, pour des raisons opposées, que l'hydrogène, qu’il soit « gris » ou « vert », est l'énergie du futur, alors que… ce n’est pas une source d’énergie !

Chaque partie participe à un jeu de dupes en cherchant égoïstement à promouvoir ses propres intérêts ou ses croyances incompatibles.

Hydrogène gris…

La molécule d’hydrogène (H2) n'existe pas seule à l’état naturel. Elle n’existe que combiné avec d'autres atomes tels que par exemple le carbone (CH4), l’oxygène (H2O) ou l’azote (NH3). Il faut donc la « fabriquer ».

L’Europe du gaz, emmenée par les Allemands, aiguise les appétits de la Russie et… des Etats-Unis

Par Michel Gay

Le besoin croissant en gaz de l’Union européenne (UE), emmenée par l’Allemagne et son fumeux « tournant énergétique », aiguise les appétits de la Russie et des Etats-Unis pour devenir ses principaux fournisseurs.

Ce gaz sera nécessaire en Europe pour sa production d’électricité suite aux fermetures (en cours et prévus) des centrales à charbon et nucléaires, et aussi pour son chauffage qui basculera encore plus vers le gaz si l’électricité devient trop chère, comme en Allemagne.

Diminution prévue du charbon et du nucléaire

La Belgique a décidé une sortie du nucléaire qui a produit 50% de son électricité en 2019. Le principal fournisseur d’électricité de ce pays est Engie… qui est partenaire du projet de gazoduc Nord Stream 2 en mer Baltique vers l’Allemagne.

L’Allemagne abandonnera à la fois le nucléaire (dès 2022) et le charbon (en 2035) pour produire son électricité. Il est prévu que les énergies renouvelables, mais surtout les importations de gaz remplaceront cette production.

Et si la France (exportatrice d’électricité décarboné à 90%) continue de fermer ses installations nucléaires, alors sa folle politique énergétique conduira aussi à des besoins accrus de l’UE en gaz naturel.

Le marché de l’électricité est devenu fou !

Par Michel Gay

Le marché de l’électricité est devenu fou alors qu’il fonctionne bien pour les carburants. Ce dernier marché a orienté efficacement les investissements dans les domaines de la recherche pétrolière et des modernisations de raffineries. Les stations-services ont gagné de l'argent en vendant du carburant et Total a riposté via Total Access à la concurrence loyale des grandes surfaces, pour le plus grand bien du consommateur.

Aujourd'hui, pour le développement du système électrique, l’État est conseillé par des lobbyistes partisans qui, au lieu d’aider la décision des politiques, ont dévoyé le marché au détriment de l’intérêt général.

Subventions et effet d’aubaine

Total et Engie investissent aujourd’hui dans les renouvelables parce que l’État garantit de juteux prix d'achat hors marché. C'est une activité sans risques qu'adorent les industriels ou les négociants parasites chantres, par ailleurs, du libéralisme.

Eolien et photovoltaïque aux abonnés absents

Par Michel Gay

Le développement de l’éolien et du solaire photovoltaïque (PV), aléatoirement variable, voire intermittent, est idiot en France pour diminuer la consommation d’énergies fossiles (pétrole, gaz et charbon), et donc les émissions de gaz à effet de serre (CO2 et autres).

Cet article est adapté d’un thread publié sur Twitter par François-Marie Bréon (@fmbreon), chercheur au Laboratoire des Sciences du Climat et de l’Environnement. Il a établi des graphiques originaux de consommation et production électrique à partir des données de RTE pour l’année 2019.

Les résultats sont particulièrement éloquents… pour qui se donne la peine de les lire et de les comprendre en 3 minutes !

Les graphes ne mentent pas (eux)…

Chaque point des graphiques suivants correspond à une journée (il y en a 365) de production et de consommation d’électricité en France en 2019.

Un trésor caché à (re)découvrir en France : la STEP

Par Michel Gay et Serge Gil (hydraulicien)

Sous l’acronyme rêche et anodin de « STEP » (station de transfert d’énergie par pompage) se cache un trésor : la possibilité d’absorber et de restituer beaucoup d’électricité à la demande, en quelques minutes, selon le besoin.

Le miracle

Cette simple capacité est une prouesse remarquable car elle permet d’équilibrer le réseau électrique et d’augmenter la part de production d’électricité décarbonée (nucléaire et énergies aléatoirement variables ou intermittentes comme les éoliennes et les panneaux solaires) dans le mix énergétique.

Une STEP transfère de l’eau par pompage d’un réservoir bas vers un réservoir haut lorsque la production est momentanément supérieure à la consommation et que le prix de marché est bas. Ensuite, son turbinage (production d’électricité à travers une turbine) peut répondre au besoin lorsque l’électricité est rare et chère.

Californie : pas de vent, pas de soleil, pas d’électricité !

Par Michel Gay

La Californie découvre les joies de la production intermittente d’électricité des éoliennes et des panneaux photovoltaïques (PV) en inaugurant quatre jours consécutifs de coupures tournantes d’électricité.

Les centrales à gaz, bien que fonctionnant à plein régime (un comble pour un état qui se veut « green »), ne suffisent plus pour répondre aux besoins de la climatisation vitale par des températures élevées dépassant largement les 40°C.

La climatisation, mais pas que…

Le 14 août 2020 en fin d’après-midi, un « blackout » a privé plus de 2 millions de Californiens d’électricité (500.000 foyers) durant plusieurs heures. Cette coupure d’électricité est liée à la double défaillance des énergies renouvelables (coucher du soleil et absence de vent) représentant aujourd’hui près du tiers (seulement …) de la production d’électricité en Californie.

Que serait-il arrivé si l’État le plus peuplé des Etats-Unis avait produit la moitié voire la totalité de son énergie à partie de ces énergies intermittentes ?

Un cocorico nucléaire ne fait pas de mal…

Par Michel gay

Le réacteur n° 1 de la centrale nucléaire de Civaux (qui en compte deux près de Poitiers) a acquis récemment une notoriété mondiale dans le milieu des spécialistes en atteignant la deuxième marche du podium international pour la production électrique en 2019, selon le classement de la World nuclear association paru en juillet 2020.

Civaux si puissant !

En 2019, le réacteur n°1 de Civaux a produit 11,6 térawattheures (TWh). Il n’a été dépassé que par les 12 TWh de l’EPR chinois de Taishan 1 (construit avec l’aide de Français) avec ses 1660 mégawatts (MW) de puissance installée. Ce dernier est le plus puissant au monde depuis sa mise en service en 2018, devant ceux de Civaux (1495 MW).

Le réacteur n°1 de Civaux a produit (à lui seul) autant d’électricité en 2019 que l'ensemble des panneaux photovoltaïques installés en France (11,6 TWh),... ou que le tiers du parc éolien (34,6 TWh). Mais avec une différence colossale : cette énergie a été produite selon les besoins (hors périodes programmées de maintenance et rechargement de combustible) et non de façon chaotique.

« Accessoirement », la France est aussi régulièrement le plus grand exportateur net d’électricité au monde (première marche du podium) grâce à son faible coût de production (ce qui rapporte 2 à 3 milliards d’euros par an...), et 17% de son électricité est produite à partir de combustible nucléaire recyclé.

Nucléaire mondial en progression

Globalement, le nucléaire progresse dans le monde. Il n’y a bien que la France pour se tirer une balle dans le pied en voulant saborder son magnifique parc nucléaire (envié par les grands pays dont la Chine) pour réduire à seulement 50% sa production d’électricité (au lieu de 75% actuellement).

Et certains écologistes voudraient même imiter leur maitre à penser antinucléaire en singeant « l’exemple » de l’Allemagne qui, elle, s’est tirée une balle dans le genou en votant la destruction totale de ses centrales nucléaires et en voulant entrainer l’Europe à sa suite !

Au milieu de cette désolante situation due à la cécité volontaire des hommes politiques au pouvoir depuis plusieurs années, un petit cocorico nucléaire ne fait pas de mal au moral…

La schizophrénie des antinucléaires

 Par Michel Gay

L’Agence de la transition écologique, nouveau nom depuis ce printemps 2020 de l’ex Agence gouvernementale de l’environnement et de la maitrise des énergies (ADEME), notoirement antinucléaire et proche du Syndicat des énergies renouvelables, s’échine à minimiser les qualités du nucléaire pour la transition énergétique et à promouvoir coûte que coûte les éoliennes fabriquées à l’étranger et les panneaux photovoltaïques (PV) chinois.

Dans le cadre de la future réglementation énergétique 2020 (RE 2020), sa dernière publication sur le contenu en CO2 de l’électricité (édité en juillet 2020) est un monument d’hypocrisie et de schizophrénie.

Un mix électrique « très décarboné »

L’ADEME reconnait dans sa note que « le mix électrique français est aujourd’hui très décarboné » (mais elle ne va cependant pas jusqu’à écrire que c’est principalement grâce au nucléaire…), et que sa méthode de calcul des émissions de CO2 dans la consommation d’électricité aboutissait à un « facteur d’émission du chauffage environ 3 fois plus important que le contenu moyen » (!).

Interdire la pub pour les énergies fossiles ? Oui,… mais non !

Par Michel Gay

Interdire la publicité pour les moyens de transport (voitures, bateaux, avions,…) et les activités qui consomment des énergies fossiles est la nouvelle idée farfelue (une de plus) des activistes écologistes et de ceux qui ont encadré la fumeuse « convention citoyenne » pour atteindre la décroissance dont ils « rêvent ».

L’énergie, c’est la vie !

Toutes les activités consomment de l’énergie directement pour produire, ou indirectement pour transporter, stocker, manipuler, …

Ostraciser les énergies fossiles qui représentent toujours 90% de la consommation mondiale d’énergie, et quasiment 100% des transports en France, c’est effectivement un bon moyen pour les décroissants d’effondrer l’économie.

Que n’y-ont-ils pas pensé plus tôt !

Avec son Pacte vert l’UE ne respecte pas ses propres traités !

Résumé adapté par Michel Gay d'un article de Samuel Furfari initialement publié le 08 juillet 2020 sur le site de « European Scientist »

 Par Michel Gay et Samuel Furfari

Le Pacte vert de l’Union européenne (UE) sur l’énergie (aussi appelé « Green Deal ») veut imposer aux États membres de l’UE une réduction drastique des émissions de CO2 d’ici 2030, et une « neutralité carbone » d’ici 2050, mais il est en contradiction avec les traités souscrits par les États membres.

Le Green Deal : une pure utopie

Grâce à cette doctrine,  les politiciens européens  ― presque à l’unanimité  ― à Bruxelles et Strasbourg espèrent que l’énergie utilisée en 2050 sera renouvelable, et que le CO2 résiduel sera piégé et stocké sous terre en capturant le carbone.

Toutefois, les énergies renouvelables intermittentes ne représentent que 2,5 % de la demande d’énergie primaire de l’UE, bien qu’elles aient été fortement encouragées à coups de milliards d’euros depuis près de 40 ans.

Le passage à 100 % n’est donc pas seulement un défi, mais une pure utopie.

Hydrogène : le meilleur allié du nucléaire !

Par Michel Gay

La loi n° 2019-1147 du 8 novembre 2019 relative à l'énergie et au climat prévoit d’atteindre la neutralité carbone à l'horizon 2050.

Cet objectif implique de décarboner complètement les consommations énergétiques des bâtiments (résidentiels et tertiaires), des mobilités terrestres, de l’industrie, ainsi que la production d’électricité.

Or, cette dernière est déjà décarbonée à 90% en France grâce principalement au nucléaire et à l’hydraulique....

Certains rêvent d’y parvenir avec un mix 100% renouvelable adossé à un stockage  « hydrogène »… pour « tuer » le nucléaire, même s’il s’agit de tondre un chauve (à 90%) dans le secteur électrique.

Un mix 100% renouvelable : une usine à gaz !

Il n’y a plus de site disponible pour réaliser en France de nouvelles grandes installations hydrauliques dans les massifs montagneux ni sur les côtes. Et gérer l’intermittence par des turbines à gaz naturel (méthane) ne serait pas cohérent avec l’objectif français affiché d’indépendance énergétique et de « zéro émission nette de CO2 en 2050 ».

L’électricité noire allemande tue 200.000 personnes par an

Par Michel Gay et Serge Gil

Depuis plus de 20 ans, le taux de mortalité de l’Allemagne (presque 12 décès pour 1000 habitants en 2018) est supérieur de plus de 20 % à celui de la France (environ 9 décès par an pour 1000 habitants) et de la plupart des pays d’Europe.

De surcroit, cet écart se creuse, malgré le développement des sources d’électricité dites « vertes » telles que les éoliennes et les panneaux photovoltaïques.

Une  explication plausible, rarement soulignée, est la pollution atmosphérique causée par les centrales à charbon et à gaz de l’Allemagne qui constituent toujours l’essentiel (60%) de sa production d’électricité.

C’est l’électricité noire (majoritaire) cachée sous le vernis affiché de sa couleur verte.

Déchets nucléaires : 3 bonnes nouvelles méconnues

Par Michel Gay

Les grands médias et des ONG antinucléaires ne cessent de clamer "qu'on" ne saurait pas quoi faire des déchets nucléaires.

Or, c'est faux.

Il existe au moins trois bonnes nouvelles ignorées par le grand public.

Première bonne nouvelle :

Plus de 90 % en volume des déchets radioactifs sont aujourd'hui gérés de façon définitive.

Plusieurs centres de stockage sont en service depuis de nombreuses années et, en prévision d'un nucléaire durable (plusieurs milliers d’années) reposant sur des réacteurs surgénérateurs, l'uranium de retraitement et le plutonium sont considérés comme des ressources énergétiques pour le futur.

L’Allemagne sombre dans l’hydrogène et Macron applaudit…

Par Michel Gay

L’Allemagne a fait le choix d’investir dans l’hydrogène (H2) à grands coups de milliards d’euros pour en faire un « carburant du futur » neutre en émissions de gaz à effet de serre afin de remplacer les produits pétroliers, notamment dans le secteur du transport. Ce qui est une aberration, même si la production de l’hydrogène « vert » par électrolyse de l’eau ne pose en elle-même aucun problème.

Et le Président français Emmanuel Macron (qui veut réindustrialiser la France) applaudit à cette folle orientation qui est une impasse économique et technique pour la société. Elle enrichira assurément toute une cohorte de promoteurs à coups de subventions juteuses accordées par Bruxelles.

Quand la Chine dominera le monde

Par Michel Gay

Entretien avec le Général Qiao Liang

Extraits adaptés d’un article publié par la revue Conflits le 7 mai 2020

 

Connaitre la vision du monde des dirigeants chinois aide à mieux comprendre le nouvel ordre mondial, notamment juste après la « mise au pas » forcée de Hong-Kong ces derniers jours.

Le point de vue surprenant du Général en retraite de l’armée de l’air Qiao Liang mérite d’être connu : il déclare sans complexe que la Chine souhaite développer son hégémonie sur le monde et envahir Taïwan.

Qiao Liang est professeur à l’Université, directeur du Conseil pour les Recherches sur la Sécurité Nationale et membre de l’Association des Écrivains Chinois. Il a publié de nombreux ouvrages de stratégie, dont un a été traduit en français : La guerre hors limite. Peut-être est-il  dans la ligne de pensée des plus hautes autorités chinoises ?

Des noix de coco pour faire rouler les bus ?

Par Michel Gay

Le stockage d’énergie embarqué est l’un des grands défis à relever pour pouvoir commencer à se passer des hydrocarbures dans les transports qui en dépendent aujourd’hui presque exclusivement.

Et les batteries « chimiques » ne sont pas les seuls systèmes de stockage d’électricité intéressants.

Les supercondensateurs, bien moins connus, contenant du charbon issu d’écorces de noix de coco, peuvent compléter ou même parfois remplacer les batteries pour faire rouler nos bus électriques en ville.

Les supercondensateurs (SC) sont aux condensateurs classiques (CC) ce que Superman est aux hommes. C’est presque pareil mais c’est différent… Ça y ressemble mais c’est beaucoup plus puissant.

Fessenheim : faut-il encore brûler des sorcières ?

Par Michel Gay

La décision du gouvernement de fermer le 30 juin 2020 le deuxième et dernier réacteur de la centrale de Fessenheim n’est pas favorable à l'environnement. Ce sacrifice païen d’une centrale nucléaire en parfait état de fonctionnement se fait sur l’autel d’une alliance avec le parti écologiste antinucléaire qui remonte à la campagne électorale de François Hollande en 2012.

Le nucléaire est le moyen de production massif d’électricité le plus respectueux de l’environnement, même si le milieu politico-médiatique a fait croire le contraire avec constance pour plaire à des partis politiques. Il brûle maintenant des réacteurs nucléaires en place publique, comme les sorcières au Moyen-âge, pour tenter de faire croire que le sort du peuple sera ainsi amélioré.

Le gouvernement infantilise sa communication

Par Michel Gay

Emmanuel Macron communique comme un incohérent directeur du marketing. Il dit tout et son contraire en paraissant toujours convaincu de ses propos. L’essentiel est de vendre ou de se vendre.

Il déclare par exemple le 14 janvier 2020 qu’il veut freiner l’essor des éoliennes mais, le 21 avril 2020, il laisse publier un programme gouvernemental pour les développer encore davantage.

Il déclare soutenir le rôle du nucléaire dans la transition énergétique en décembre 2019 mais cette même programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE) de son gouvernement prévoit de réduire d’un tiers sa part dans la production d’électricité.

Certains pensent que dire tout et son contraire avec conviction, c’est ça la politique ! Vraiment ?

Le charbon caché de l’Union européenne

Par Michel Gay et Jean-Pierre Riou

L’augmentation de la part des énergies renouvelables intermittentes (EnRI) dans la production d’électricité en Europe ont amené l’Union européenne (UE) à développer des interconnexions pour aller chercher hors d’Europe des productions pilotables, y compris avec du… charbon, qu’elle veut supprimer sur son sol.

Ces interconnexions lointaines permettront d’évacuer ses surplus d’électricité d’EnRI les jours de soleil et de grand vent, et de sécuriser son approvisionnement rendu instable… par ces mêmes EnRI.

La stabilité des moyens pilotables

Selon Eurostat, le formidable développement des énergies intermittentes n’a pas permis la fermeture de la moindre capacité pilotable installée depuis 2000.

Au contraire, cette dernière a augmenté de 53,6 GW jusqu’en 2012 puis a décru de nouveau de 38,6 GW. Cette récente diminution menace la stabilité de l’alimentation électrique de l’UE ce qui a inquiété les 10 principaux électriciens européens en octobre 2018.

Le sabordage du nucléaire fragilise la France

Par Michel Gay

Le gouvernement programme le sabordage de 14 réacteurs électronucléaires alors qu’il ne sait plus comment pallier la désindustrialisation du pays dont les Français découvrent l’ampleur catastrophique.

Sabordage (sabotage ?) de Fessenheim

Les 400 millions d’euros d’argent public qui seront versés à EDF pour la fermeture de Fessenheim et la perte de 5000 emplois indirects ne sauraient tenir lieu de solde de tout compte pour cette déprédation volontaire.

L’ardoise « Fessenheim » atteindra au moins 10 milliards d’euros pour la collectivité à raison de 1 à 2 milliards d’euros par an de surcoût de production de substitution, suivant l’hypothèse retenue de 10 ou 20 ans d’exploitation sacrifiée de cette centrale.

Le caractère pervers d’une transition énergétique parée de toutes les vertus n’a jamais été aussi flagrant qu’en ces temps de marasme imposé.

Le nucléaire sud-coréen à la conquête du monde

Par Michel Gay

Le nouveau réacteur nucléaire sud-coréen APR-1400 (Advanced Power Reactor) de 1 400 mégawatts électriques (MWe) a reçu en 2019 l’autorisation d’exploitation de l'autorité de sûreté nucléaire américaine pour partir à la conquête du monde.

Le Graal à l’international

Même si ce réacteur ne sera probablement jamais construit aux Etats-Unis, cette autorisation est considérée comme le « Graal nucléaire », « l’étalon or » qui facilite ensuite les diverses certifications dans les autres pays et la vente à l’international.

La Russie est en train d’apprendre à ses dépens en Finlande et en Turquie que la procédure d'autorisation en « occident » est plus complexe qu’anticipée.

Éolien en mer : 192 €/MWh… Arrêtez tout !

Par Michel Gay

Par une formulation alambiquée, l’arrêté du 9 avril 2020 fixe à 192 euros (!) par mégawattheure (€/MWh) le tarif d'achat de « l'électricité produite par les installations flottantes utilisant l'énergie mécanique du vent en mer » (dites aussi « éoliennes off-shore »).

(Voir le complément technique en fin d’article pour le calcul de ce prix d’achat de 192 €)

Or, le marché achète et vend l’électricité autour de 40 €/MWh, et même souvent beaucoup moins ces derniers temps.

Devinette : qui va payer la différence ?... Les clients et les contribuables bien sûr !

Car, il faut le rappeler, la  production d’électricité de ces éoliennes en mer sera obligatoirement achetée à ce prix faramineux puisque la loi l’exige !

Parlez-vous la Novlangue des énergies renouvelables ?

Par Michel Gay

« On vit une époque formidable ! » aurait-dit l’humoriste Reiser. Certains mots changent subrepticement de sens jusqu’à exprimer l’opposé du sens initial, notamment dans le domaine des énergies renouvelables. C’est la Novlangue de la transition énergétique, cet instrument de contrôle des esprits et de destruction intellectuelle popularisé par Georges Orwell dans son roman « 1984 ».

Il en est ainsi, par exemple, des mots « renouvelable », « complémentaire », « parité réseau », « production variable », « énergie non carbonée ».

Renouvelable

C’est peut-être le mot le plus galvaudé et le plus mal compris en parlant d’énergie.

Voiture électrique : enfin bientôt plus d’autonomie pour pas cher ?

Par Michel Gay

Vous pourriez bientôt utiliser une voiture électrique comme une voiture thermique, et pour le même coût total de possession, grâce à l’EP Tender, si ce concept se développe en France et en Europe.

Ça tient en une phrase, et c’est aussi simple que ça.

En d’autres termes, vous pourriez alors choisir une voiture électrique adaptée à vos moyens financiers et à ce que vous avez envie de faire, et vous ne seriez plus obligés de vous adapter à ce qu’elle peut faire !

Macron veut relancer l’industrie : mais avec quoi ?

Par Michel Gay

Le Président Macron appelle à relocaliser l’industrie sur le sol français depuis plusieurs années, et notamment après « l’affaire des masques ».

Dans cette optique, il est essentiel de disposer de l’énergie d’avenir qu’est l’électricité, en quantité suffisante et à un prix compétitif.

Or, ces deux conditions ont été totalement négligées par le gouvernement à la fois dans le Grenelle de l’environnement de 2007, dans la loi de transition énergétique de 2015, et dans la Programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE) qui vient d'être publiée le 29 avril 2020.

Les productions d'énergies renouvelables intermittentes (EnRI) promus par la PPE (éoliennes marines et terrestres, agro carburants, méthanisation, solaire photovoltaïque, hydroliennes...) conduisent toutes à une augmentation des coûts.

Résoudre la crise ? Il faut détruire Carthage !

Par Michel Gay

L’obsession de l’idéologie écologiste est de détruire la civilisation industrielle prospère et « diabolique » (parce que polluante) en la privant d’une énergie abondante et bon marché, notamment celle issue des fossiles (pétrole, gaz charbon) et du nucléaire.

« Delenda Cartago ! »  (Il faut détruire Carthage !) répétait déjà le censeur romain Caton l’Ancien (deux siècles avant Jésus-Christ) afin d’envoyer les légions détruire l’infâme Carthage concurrente de Rome pour le commerce en Méditerranée.

Mensonges et fanatisme

Des fanatiques passés maîtres dans l’art du mensonge et  de l’intimidation, notamment grâce au savoir-faire hérité des anciens régimes communistes, ont infecté les médias.

Le commerce honteux des indulgences renouvelables…

Par Michel Gay

Comme au moyen-âge, le gouvernement a rétabli le commerce lucratif des indulgences pour enrichir les producteurs d’électricité renouvelables qui peuvent ainsi verdir l’électricité, quel que soit le « péché » de son origine fossile ou nucléaire.

Financement du parc nucléaire français

Le financement de la construction du parc nucléaire français actuel n’a bénéficié d’aucun apport de l’État.

La société EDF a dû emprunter, y compris hors de l’hexagone, et assumer le remboursement répercuté sur le prix de vente de l’électricité parmi la moins chère d’Europe. L’entreprise EDF a pris tous les risques industriels de l’investissement et de la construction des 58 réacteurs actuellement en fonctionnement dont profitent tous les Français depuis plus de 30 ans.

Cependant, le marché de l’électricité ayant été ouvert à la concurrence en 2007, l’État a souhaité favoriser l’arrivée de concurrents afin qu’ils puissent trouver leur place sur le marché.

L’Etat a donc imposé à l’entreprise EDF des tarifs réglementés de vente et l’a obligé à céder un quart de sa production nucléaire (100 térawattheures) à un « prix d’ami » aux nouveaux fournisseurs alternatifs souhaitant la concurrencer.

La kleptocratie de la transition énergétique par les énergies renouvelables

Par Michel Gay

Toutes ces informations contradictoires et divergentes sur le Covid-19 finissent par rendre pour le moins perplexe.

Ce qui avait été dit la veille n’est plus vrai le lendemain. Le mot scientifique est utilisé à toutes les sauces. Plus rien de sérieux ne semble soutenir les directives qui servent la dernière recette à avaler. Cette soupe sent l'enfumage qui cache le plus souvent de l'ignorance ou de puissants intérêts.

Les informations constructives manquent cruellement pour balayer la confusion qui caractérise la gestion de cette pandémie dramatique où les journaux et des émissions anxiogènes inondent les personnes confinées pour les rendre « responsable » du chaos social qui se prépare.

Les acteurs de la désinformation s'emparent de tout ce qui peut rendre chacun plus vulnérable, plus dépendant, et plus soumis aux prélèvements financiers qui se profilent.

Ce qui ressemblait à un plan de sauvetage louable contre un virus vire au cauchemar de la désinformation.

Le COVID-19 rapproche l’Europe du « Black-out »

Par Michel Gay

Alors que l’électricité est un bien vital pour notre économie, une note de « France-Stratégie » (une institution autonome placée auprès du premier ministre) indique le 21 avril 2020 que le confinement actuel fragilise dangereusement le système de production d’électricité en France et en Europe.

La demande s’est affaissée

La consommation d’électricité en France s’est affaissée de 15% à 20%. Les réseaux électriques des pays européens étant interconnectés, et les marchés couplés, des baisses de prix se sont généralisées en Europe, y compris pour les contrats à terme en 2021 et 2022. Les marchés anticipent donc une longue crise.

Cette situation nouvelle entraine une grande incertitude sur la robustesse du système de production d’électricité.

La reprise après la crise : verte et ruineuse ? « Greenbusiness as usual » !

Par Michel Gay

Le « jour d’après » la pandémie du Covid-19, non seulement les esprits vont s’échauffer contre l’incurie et les maladresses du gouvernement, mais chacun voudra tirer des bénéfices des réorientations économiques qui se profilent.

À la longue liste des reproches sur l’absence d’anticipation de cette crise sanitaire du gouvernement et des responsables de santé, il va falloir ajouter « la preuve par le coronavirus ».

  1. Hydrogène : des élus cyniques réinventent Grand-Guignol
  2. Le dragon nucléaire chinois prêt pour le grand bond en avant
  3. Le nucléaire français menacé par l’Europe
  4. NUWARD, un petit nouveau dans le nucléaire
  5. Nucléaire et CO2 : entretenir des illusions pour masquer la réalité
  6. Plainte de l'AEPN contre la fermeture de Fessenheim
  7. Eolien : foisonnement et stockage ne remplaceront jamais le pilotable
  8. Le nucléaire est un devoir moral
  9. Affichage vert : le grand bluff « écolo »
  10. Electricité : encore 2,4% ! La hausse de trop ?
  11. Le nucléaire français sauvé par la Chine ?
  12. Non à la ruineuse programmation sur l’énergie du gouvernement
  13. Fermeture de Fessenheim le 22 février : Macron sacrifie Iphigénie
  14. La Castafiore du Poitou chante encore et toujours au frais du contribuable
  15. Eolien en mer : erreurs du « maître » gouvernemental ou… mensonges ?
  16. L’hydrogène, l’éternelle illusion
  17. La tyrannie verte des oracles
  18. Vert comme les affaires
  19. Electricité : noir c'est noir !
  20. Macron cherche un créneau entre Greta et Donald (Trump)
  21. Un projet de loi anti-gaspillage : pour le nucléaire aussi ?
  22. Un conte de Noël : 100% renouvelables pour les JO 2024
  23. Europe verte : 1000 milliards pour les copains ?
  24. Le Parlement européen soutient le nucléaire pour le climat
  25. Energie : la France pourrit par la tête (comme les poissons)
  26. Energiewende en Allemagne : le désastre constaté va s’amplifier
  27. Transformer le CO2 en carburant, encore une idée lumineuse et ruineuse
  28. L’électricité verte est opaque
  29. Légion d’honneur : quand la « masse de granit » s’effrite
  30. Nouveau nucléaire français : le véritable futur coût de production
  31. Le véritable coût de production de l’actuel parc nucléaire français
  32. Défense du climat : tu seras un homme éco-responsable, mon fils
  33. Une économie verte, solidaire, respectueuse est possible
  34. Energies renouvelables : un trou noir pour l’économie
  35. Le nucléaire progresse dans le monde… et dans l’espace
  36. Le danger de l'écologie politique pour la liberté
  37. Energie : la France bavarde, ivre de son génie
  38. L’Etat verra-t-il les bénéfices cachés du nouveau nucléaire français ?
  39. L’électricité au royaume du roi Lion
  40. Voilà pourquoi le « jour de dépassement » de la Terre est une théorie mensongère
  41. Route solaire : le désastre annoncé est consommé
  42. Le massacre du bétail des Xhosas a-t-il un lien avec la transition écologique ?
  43. Petit conte estival pour ministres et industriels
  44. Climat, justice et politique : si on ne peut même plus promettre n’importe quoi tranquillement
  45. L’écotaxe plane sur les avions pour restreindre les déplacements
  46. Transmutation nucléaire : pourquoi pas, mais pourquoi faire ?
  47. EDF devient schizophrène… mais se soigne
  48. Brune Poirson nage en eaux troubles
  49. Pétrole : l’Europe bientôt en concurrence avec la Chine ?
  50. Les difficultés de l'EPR en France réjouissent l’Allemagne
  51. Projets d'éoliennes flottantes en mer
  52. Biomasse vers hydrogène : solution ou impasse ?
  53. Comment faire disparaître le périphérique parisien ?
  54. Voilà pourquoi votre facture d'électricité augmente !
  55. à Henri Weill, rédacteur en chef du magazine des membres de la Légion d'honneur la Cohorte
  56. Réacteur nucléaire EPR : et de deux !
  57. Vous avez rêvé de soleil et de vent, eh bien dansez maintenant !
  58. L’incohérence du projet de loi énergie – climat
  59. Transition énergétique : mieux qu’un discours ou un sondage, une élection…
  60. Duel Lithium contre Hydrogène : un mort
  61. Lettre au Député Julien Aubert
  62. Le règne des illusionnistes au ministère de l’écologie
  63. Nucléaire : pourquoi vouloir tuer la poule aux œufs d'or ?
  64. Transition énergétique : et le grand gagnant est… le gaz !
  65. CIGEO : la meilleure solution
  66. Le Père Noël est-il une « fake news » ?
  67. L'électricité vient de la prise…
  68. La taxe carbone à la française
  69. Climat : des météorites pour la planète
  70. Electricité : le Candide et le Spécialiste
  71. Il faut sauver le soldat Greta
  72. Les énergies renouvelables : à quoi ça sert ?
  73. Le gazole est un produit naturellement fatal
  74. Haro sur le diesel ? Quelle drôle d’idée !
  75. Augmenter la part du nucléaire vers 50% ?
  76. Fukushima : réalité et désinformation
  77. Energie : non à la dictature écologiste
  78. L'énergie non consommée est-elle la meilleure ?
  79. Nucléaire : 10 bonnes nouvelles "oubliées" par les grands médias
  80. Magie du vent et du soleil : l'électricité gratuite pour le personnel d’EDF
  81. Macron et nucléaire : à tort et à raison
  82. Transition énergétique : la ruineuse quête moyenâgeuse du Graal
  83. Le kilo ne sera plus ce qu'il était
  84. Energie nucléaire : le triple don de Dieu
  85. La transition énergétique actuelle va ruiner les Français
  86. Il faut rendre à la France sa prospérité pour qu’elle puisse être généreuse : Chiche, Monsieur le Président !
  87. Bill Gates parie sur le nucléaire
  88. Il y a pléthore de gaz et de pétrole ! Vous êtes au courant ?
  89. L’écologie politique fait pschitt
  90. L'imposture de l’éolien et du photovoltaïque
  91. Hourra ! L'ADEME promet 60% d’énergies renouvelables en 2060
  92. Monsieur le Président, un « citoyen nécessaire » vous pose une question de confiance
  93. Donnez-nous la parole !!
  94. Transition énergétique : la chèvre jaune et le chou vert
  95. Le grand mensonge de la Transition énergétique
  96. Energies renouvelables, propres ou… vertes ?
  97. La grande illusion de la transition écologique coûte (déjà) 50 milliards par an
  98. Eolien en mer : Macron a menti
  99. Y a t-il collusion entre Greenpeace et l'entreprise russe Gazprom ?
  100. Les dessous peu ragoutants de la transition énergétique : jaune devant, Macron derrière
  101. Pollution de l’air en France : 48 000 ou… 11 morts par an
  102. Renversant : les électeurs plébiscitent l'énergie nucléaire
  103. Energie et taxes : Macron marche sur la tête
  104. Le cœur du peuple interpelle la tête de la France
  105. L’écologie chinoise écrasera l’occident
  106. Première nucléaire en chine : le silence assourdissant des médias
  107. Prix des carburants à la hausse, passer à l’électrique ? Oui, mais il y a au moins trois « hics »
  108. Energies renouvelables : le chant des si… règne
  109. Madame Royal accuse et oublie son passé calamiteux de Ministre
  110. Le mirage ruineux du stockage massif d'électricité
  111. Electricité : 10 associations professionnelles européennes tirent la sonnette d’alarme
  112. Le GIEC persiste et signe : le nucléaire est l’avenir de l’humanité
  113. L’énergie de la houle. Une vague idée qui prend l’eau
  114. Energie : les termes "vert", "écologique" et" renouvelable" sont-ils interchangeables ?
  115. Macron champion "de la terre et du climat" : Wouahou !
  116. L'écologie rend fou !
  117. Quel serait le coût d’un « blackout » dans l’Union européenne ?
  118. Les centrales nucléaires américaines prolongées jusqu'à… 80 ans ?
  119. Tous unis pour sauver la planète
  120. Débat public sur l'énergie : le bal des dupes et des hypocrites
  121. Le Japon sur le chemin de l’hydrogène et… du nucléaire
  122. Le lobby le plus puissant dans les médias est écologiste !
  123. Electricité : 15 pays moins chers qu’en France ? De quoi parle-t-on ?
  124. Le mythe du foisonnement éolien en Europe
  125. Le stockage d'énergie "en béton" : une utopie de plus
  126. Les délires de nos « écolos» : ça ne s’arrange pas !
  127. Production électrique : tous les œufs seraient dans le même panier ?
  128. Le seuil de 50% d'électricité nucléaire est sans fondement
  129. Le mythe du stockage par hydrogène
  130. Fessenheim : c'est Iphigénie qu'on sacrifie
  131. La transition électrique va coûter cher aux Français
  132. Le gaz augmente de 7,45 % au 1er juillet : vive la transition énergétique
  133. Les Verts ne sont plus anti-nucléaires en Finlande
  134. Si l'énergie nucléaire est si sûre, pourquoi en avons-nous si peur ?
  135. Energie : la guerre asymétrique entre le dogme et la raison
  136. Energie : le suicide collectif européen
  137. Le fiasco de l'Europe électrique
  138. L’hydrogène, cet hallucinogène
  139. L'impasse de la transition énergétique européenne
  140. Nicolas Hulot : sous l'écologiste, le dictateur
  141. Soutien aux énergies renouvelables : la Cour des comptes montre que c'est le bazar
  142. Les racines de la colère des géraniums
  143. Oui, le solaire et le vent augmentent vraiment les prix de l'électricité
  144. Le cancer de l'éolien et du photovoltaïque
  145. Si le solaire et le vent sont si bon marché, pourquoi rendent-ils l'électricité si chère?
  146. Les magiciens de l’éolien
  147. Electricité : produire "local", est-ce conforme à l'intérêt général ?
  148. Les incohérences de Monsieur Hulot
  149. Déchets nucléaires : où est le problème ?
  150. Le principe de précaution tue
  151. Confusion dans le pilotage de la politique énergétique de la France
  152. Les offres de gaz “vert”, késako ?
  153. Nucléaire : quand un journaliste a du plomb dans la plume
  154. Energie : l’Europe se couche-t-elle pour mourir dans ses chimères ?
  155. RTE ne nous dit pas tout !
  156. Pour l'amour du ciel !... et de la France
  157. Ministère de l'écologie : la valse des épithètes
  158. Bilan électrique 2017 de la France
  159. Les Bretons bientôt "sacrifiés" à l'aluminium et au zinc ?
  160. Réchauffement climatique et particules fines : l'Allemagne dans l'impasse
  161. Les négriers éoliens déboutés 16 novembre 2017
  162. Fessenheim : pour une poignée d'écologistes… et quelques cacahuètes
  163. Le nucléaire sauvera l'humanité de la pénurie d'énergie et du réchauffement climatique
  164. L'enfumage des énergies renouvelables "pas chères"
  165. Faut-il "brider" le dragon nucléaire chinois ?
  166. Et si, en 2018, on libérait aussi l'énergie nucléaire ?
  167. Subprime et nouveau capitalisme vert
  168. Pendant que Ségolène glisse sur la glace
  169. Nucléaire et renouvelables seraient complémentaires ?
  170. Le gaz naturel liquéfié, rempart contre la Russie ?
  171. Le photovoltaïque brisera le dos du canard
  172. Misère, on va tous mourir… de peur
  173. Energies renouvelables : mais où sont donc passés les emplois promis ?
  174. Et si les autoroutes devenaient électriques ?
  175. Transition énergétique : désolé, on s'est trompé
  176. Le chauffage électrique est écologique
  177. Radioactivité : êtes-vous ALARA ou ALAIN ?
  178. Eolienne "offshore" : le naufrage du bon sens
  179. Le désastre de la croissance verte
  180. Il y a quelque chose de pourri au royaume des éoliennes
  181. Energies Renouvelables : la déraison d'Etat
  182. Le mauvais combat des antinucléaires contre CIGEO
  183. Voiture électrique : "no limit" pour moins… d'un litre au 100 km !
  184. Acheter (ou pas) une voiture électrique
  185. Un milliard d'export… d’électricité
  186. Le futur Airbus pourra t-il décoller ?
  187. Fermer 17 réacteurs nucléaires ?
  188. Le mirage des énergies fatales
  189. La transition énergétique en Allemagne est un échec. Qui osera le dire ?
  190. Pas d'hydrocarbure, pas de nucléaire, vive le vent d'hiver !
  191. Comment le nucléaire peut-il être heureux ?
  192. Energies : des rois et des rats
  193. Les Suisses ont-ils peur du nucléaire ?
  194. Monsieur Hulot : pour lutter (vraiment) contre les énergies fossiles, changez la politique énergétique de la France
  195. Les énergies renouvelables en France ? Pourquoi faire ?
  196. La ruineuse usine à gaz solaire de Mme Royal
  197. Contre le cancer, mange tes brocolis !
  198. L'éolien et le photovoltaïque tuent !
  199. Energies et CO2
  200. Transition énergétique : l'Académie a dit…
  201. Photovoltaïque : un gâchis écologique
  202. L'électricité verte est-elle durable ?
  203. Les énergies renouvelables et le théorème du clou
  204. Route solaire : quel couscous !
  205. Nucléaire : la force tranquille
  206. Même sans vent, les éoliennes tournent...
  207. Sarcophage de Tchernobyl : la cathédrale de la peur
  208. Halte aux arnaques renouvelables !
  209. Présidentielle : où va la "transition énergétique" ?
  210. Transition énergétique : aïe, tout faux !
  211. Thorium : est-ce vraiment la face gâchée du nucléaire ?
  212. Le mensonge planétaire de la transition énergétique
  213. Cachez ce nucléaire que je ne saurais voir !
  214. Vert comme le nucléaire !
  215. Fukushima : Peu ou pas d'impact de la radioactivité sur la santé !
  216. Tchernobyl : autopsie des mensonges, 30 ans plus tard
  217. Nucléaire : "la fin de l'histoire" ?
  218. ALSTOM qui pleure, Fessenheim aussi
  219. Réduction du nucléaire : un coup deux fois perdant.
  220. CIGEO, ou le bel avenir des ZAD
  221. Brexit et nucléaire : une aversion fabriquée et entretenue
  222. Schéma du circuit annuel du combustible nucléaire en France en 2015
  223. La reconstruction d’une Europe de l’énergie
  224. Vers 100 % d'électricité nucléaire en 2070, avec appoint gaz.
  225. Le nucléaire est l'avenir de nos enfants !

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